Ce matin, je vais au camping, avec l'espoir de terminer de passer le rouleau compresseur. Rien qu'en lisant cette phrase, vous avez compris que cet espoir a été déçu. En effet, le moteur démarre, puis cale. Il re-démarre, et re-cale, et re et re et re.
Coup de téléphone à Thierry pour me faire apporter des câbles de démarrage, test et re-belote, démarrage et calage. Une heure en tout.
Faisons venir un technicien de l'entreprise de location, vu que ça ne veut pas tourner rond.
Alors il est venu, il a vu, il a réparé et il est reparti. Le truc c'est que la réparation a duré deux heures... Deux plus une égale trois. Trois heures de perdues parce que le circuit d'alimentation en carburant était sale, tellement sale qu'il a fallu changer deux filtres et déboucher les durites!
Bref, j'ai pu travailler environ quarante-cinq minutes. Pas beaucoup donc, mais j'en ai fait un maximum dans un laps de temps très court.
Mais bon, c'est la vie hein!
Puis je suis allé, avec Thierry et Rémi, assister à une petite formation sur du matériel d'arrosage automatique performant et économe en eau, avec des buses spéciales, des turbines avec régulateur de pression, du matériel de programmation des électrovannes centralisé, utilisant internet, fibre optique et ondes radio.
Du beau matériel que nous espérons pouvoir utiliser dans quelques temps. C'est un travail énorme mais les défis du genre ne nous font pas peur!
Car il faut savoir que la ville a décidé d'optimiser son utilisation de l'eau, dans une démarche cohérente avec une optique plus naturelle, plus de produits photo-sanitaires, des plantes endémiques, moins d'entretien, bref plus de naturel pour nous, jardiniers. Et c'est bien!
Tout ça nous donne du travail, mais la finalité en vaut la peine, c'est mon avis!
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